Quel temps !!!...
Ha lala il a fait beau mais chaud Je ne vous dis pas !!!...
Je garderai le sourire tout le week-end dans l’ensemble mais frustré :
- Des vidéos qui ont toutes merdées ;
- De mes médiocres prestations sur la piste ;
On arrive le jeudi en fin de journée avec un peu de vent tous va bien mais chaud.
Le vendredi, matin contrôle technique et paperasse, je prends deux tickets pour les essais libres.
Premier tour de roue, 14h40 pas de vent, 40° au minimum pour l’air, 50° sur piste et je vous dis pas sous le casque, sur une dizaine dans la catégorie il y a déjà un abandon à la fin de la journée…
Pourquoi ils ne font pas rouler des modernes à refroidissement liquide à cette heure-là plutôt que des vielles mémères ???...
Heureusement Evelyne, que je remercie encore, est là pour remettre de l’ordre et nous bloque des horaires plus cool pour les qualifs et les courses !!!...
Tout-ce passe plutôt bien le moteur manquera de pêche mais je le savais avant de partir car j’ai pas fini l’autre à temps et celui-là est en fin de potentiel avec une consommation d’huile de folie,,,
Deuxième série, deux ou trois modifications sur le préréglage pour mieux passer, ça passe mieux mais ce n’est toujours pas ça et je suis en ébullition dans la combar !!!...
Pour vous dire j’ai la poignée de gaz qui a collé au gant comme du chewing-gum obligé de la changer car c’est infernal pour couper les gaz au freinage,,,
C’est l’âge de la gomme plutôt que la chaleur mais ca, plus ca…
Une purge pour les freins qui souffrent aussi même si le liquide de qualité n’a pas 5 mois,,,
Bref !!!...
Je lui trouve tous les défauts du monde pour expliquer ou justifier le fait que je n’arrive pas à passer sous les 2:10 alors que l’année dernière j’avais sorti un 2:05, les freins, le moteur est essoufflé, il fait trop chaud…
Mais à ce moment-là je pense pas à me remettre moi-même en question,,,
GUILHEMJOUAN était épaté de voir la BO démarrer à la poussette en moins de 2M, en rigolant je lui ai dit simple le moteur n’a presque plus de compression mais reste bien réglé donc ca démarre comme une mob !!!...
Le soir arrive j’ai toujours le sourire mais il faut être clair tout ne vient pas de la moto le gros du problème à son cul sur la selle !!!...
Pourquoi ?
La chaleur en grande partie qui me travaille la couenne avec peut-être un fond d’appréhension à reprendre vraiment de l’angle ???…
Je me souviens de pilote comme Dominique BONVICINI ou Joël ZIMERMAN, avec le BORS TEAM, juste une dent de moins sur la couronne ou un centimètre de plus par-là, pour nous sortir des chromos de folies, quand d’autres avec la même machine réglée pareille pour la même piste lui trouvaient tous les défauts du monde, sans jamais se remettre eux en question…
C’est en repensant à eux que je comprends que c’est de moi que le problème vient, J’ai du mal à me reprendre mais une chose est sûre je touche plus à la moto, à partir de là c’est plus elle qu’il faut travailler pour le week-end mais le mental !!!...
Une bonne nuit et c’est le samedi et les qualif, je garde le sourire on ne va pas trop forcer mais il faut quand même se sortir les doigts du réservoir !!!...
Je passe mieux mais pas encore comme je voudrais, je n’arrive toujours pas à passer le cap pour freiner moins ou prendre plus d’angle et cette chaleur sur les épaules…
Un petit passage par les stands juste pour rire et avoir Gaswin et le Jo sur la vidéo et hop on y retourne !!!...
Ce soir je serais en 11ème ligne avec le sourire ou 33ème sur 45 motos…
Ha ! La procédure de départ !!!...
B’in comme à la répète tout bon ou presque car je me loupe au feu et manque de faire caler le moteur,,,
Je lui en mets plein la tronche et elle tient bon toute la manche, dans les derniers tours je sens vibrer l’échappement derrière mon talon, ca loupe pas la fixation à cassé et il était à deux doigts de tomber…
Je reste sur un temps médiocre mais ça va le faire pour le week-end, elle ira au bout !!!...
Dimanche :
Son addiction à l’huile et la chaleur me fait quand même cogiter, quand je vois rentrer la deuxième 750 Four de nos voisins avec une bielle passée à travers le carter, la première 750 ayant pris feu le samedi…
Et c’est mon tour d’aller en pré-grille, c’est la dernière du week et du moteur pour cette année, je vais partir souple et je lui mets tout à 5 tours de la fin pour l'honneur !!!...
Une pré-grille avec le sourire quand le Jo et Gaswin m’amène l’umbrella girl d’un autre concurrent en Honda bien sûr !!!...
Je loupe de nouveau mon départ au feu et manque de caler !!!...
Ce n’est pas possible j’ai deux mains gauche ou quoi ???...
Il fait moins chaud qu’hier mais mal dormi et je n’arrive toujours pas à faire un tour complet à fond,,,
Je fini 6ème en post-classic et dans les 35 au général, meilleur tour en 2:08 ou 2:09 loin de mes espérances mais heureux de l’avoir fait et d’avoir fin !!!...
Je pensais être mieux préparé que l’an dernier et je n’aurais pas cru que le chaud pouvait jouer autant sur moi…
Merci à ma femme de me supporter et à l’équipe d’être toujours là avec moi !!!...
TPM 2015 ou La guerre des nerfs.
l'endurance c'est l'endurance...
Ca, d'accord!
Départ, première ligne. Meilleur temps sous la pluie et troisième sur le sec.
Franck, qui n'a pas beaucoup roulé en 2015 est arrivé avec un moteur parfait. Efficace et fiable, il a enroulé les tours comme un métronome. Premier relais au bout d'une heure mais au bout aussi du réservoir, il est obligé de me passer la main. Arrêt de 30s. Nous sommes bien placé mais derrière un troupeau de 500 qui parle plus Anglais qu'Italien côté moteur. BSA et Absaf, elles sont puissantes et fiables. Je prends la piste pour une 1h30, après une saison de courses en Belgique et avec un moteur remonté deux semaines avant, décomprimé volontairement pour limiter les risques. Super partie cycle construite par ludo Crazyracers, -14kg, ca permet d'attaquer velu. Mais mon réservoir en alu monté au dernier moment tape sur le nouveau cadre et sur le carbu, provoquant un risque de fuite qui ne m'a pas quitté pendant toute la course. En plus de ça, parti avec 12L d'essence, à chaque freinage, je perds 20cl par le bouchon... second risque d'incendie. J'ai repéré tous les postes de commissaires équipés d'extincteurs, afin de pouvoir me jeter chez eux au cas où. C'est toujours plus rapide que si tu attends qu'ils arrivent en courant. Surtout quand tu en as plein les cuisses...
Malheureusement dans les 5 mn qui suivent, gros carton et nous roulons 15mn derrière le Safety Car.
Mais heureusement aussi parce que du coup, je consomme sans trop en perdre, et rallonge ma durée de vie d'autant. C'est reparti pour 1h et je commence à pouvoir freiner plus fort sans que ça dégueule de trop. De 1.18 au tour (Ce qui nous a fait perdre la course!) j'arrive à redescendre en 1.12. Franck roulait en 1.10.
Au relais suivant, nous étions passés en tête un certain temps, nous sommes repris par l'équipage de Hourdequin/Colleu en 500 ducati. 15 mn plus tard Franck est à 10s de la 21, à 10 tours de la fin. Il lui reprend 2s au tour. C'est jouable.
-" On a jamais vu ça au Prout!!!" m'a dit stupéfait Gérard Pont, hystérique sur l'escalier de la tour.
Les 3 derniers tours sont terribles. Franck passe mais jean Marie repasse et lutte en fermant les portes, ce qui est de bonne guerre, mais toujours très désagréable quand on est derrière ou pire déjà à l'intérieur. Le 500 fait la différence en ligne droite. Malheureusement bouchonné dans le dernier tour, toute attaque devient impossible à moins d'être suicidaire! Damier à 1s du vainqueur ça reste historique pour le DCF mais très frustrant pour le Team des Pâquerettes.
L'équipage Mazoyer/Caron tombe en rade de batterie à un tour de l'arrivée. Skyrich tient 3h, mais avec les deux tours de formation, ça fait plus de 3 heures... et Ludo et zef explosent leur boîte à 10mn de l'arrivée. On leur a trop mis la pression...
La 64, première 350 avec 6 tours d'avance sur le deuxième et deuxième au classement général, tu m'excuseras Franck mais je trouve que c'est une putain de belle victoire! Pour moi la déception s'est estompée à l'ouverture de la bouteille de Pineau que nous avons gagné!
Une belle cérémonie, un bel apéro du Club, une bonne pizza, et c'est reparti pour la journée de Dimanche pour la seconde course des Vecchio. le 500 Pantah va bien et je suis dans les temps de l'autre 500 piloté par Bruno Rey. Merci Monsieur Guibbaud, vous êtes fin mécanichien!
Ah oui, j'oubliais un détail, la première course vecchio a eu lieu juste avant l'endurance... J'étais un peu chaud ...
Très beau weekend, bien organisé une fois de plus, merci au DCF, à la direction de course forte aimable et à tous les bénévoles et à tous les volontaires commissaires dont Papy qui s'est gentiment proposé pour notre équipage. En 2016, nous essaierons encore Messieurs les participants! Franck a déjà prévu 14L et deux batteries...
En découvrant Chimay je me suis vu à la Mecque de la course sur route. Evidemment, L'île de Man reste le nec plus truc. En découvrant Gedinne, et j'y suis encore puisque nous sommes Dimanche soir 23 Août, je suis obligé de remettre mes pendules à l'heure et mon slip dans le bon sens. Nous sommes ici ailleurs. Paradoxe improbable. Sur le papier ça paraît simple et pour vous aider à comprendre je m'arrêterai bien là.
Il faut venir, même en spectateur, arriver le Mardi pour être bien installé, avoir un groupe pour maintenir le frigo à température avant que l'organisation allume les siens, prendre des bottes pour éviter la pluie, un barbecue, des bouchons pour les oreilles, un téléobjectif pour les photos, une seconde moto pour faire l'Ihro et de l'ail pour les champignons.
C'est incroyablement fou. Si vous aimez le circuit vous n'aimerez pas forcément la route et ses défauts mais avec de la retenue, on prend beaucoup de plaisir à rouler. Pour gagner il faut soit une machine de guerre soit prendre des risques.
A vos calculettes, moi je suis prêt pour 2016!
Merci aux gentils commissaires, au médical, aux organisateurs, aux bénévoles (40!), aux laitières, aux paysans et aux amis!
CHIMAY.
Il était une fois!
Chimay c'est de la bière. Blanche, Bleue, Rouge, Jaune et noire. Mais pas que!
Quand vous arrivez porte de Mons, à la sortie du Bled et que vous tombez sur des vibreurs, votre cœur fait boum et lorsque vous découvrez le portique du départ et que vous croisez deux tracteurs transportant du bois, deux gouttes de sueur glissent alors sur votre tempe et votre gorge s'assèche brutalement. La vache! J'y suis à la Mecque.
Un paddock qui s'étend sur plusieurs hectares, des allées en graviers défoncées, un parc fermé géant, une tour de contrôle toute compacte et complètement accessible par le quidam et des brêlons dans tous les sens, voilà ma première vision une fois franchi le contrôle d'accès et emprunté la piste pour rentrer dans l'arène. Accompagné par Eddy et Martha, organisateurs passionnés du TT de Gedinne, à la bourre, et par un couple d'amis Bourguignon accessoirement très bon préparateur de mono Ducati et de tondeuse à gazon (ce qui resserre le lien de ces deux mécaniques assez semblables) le choix de l'emplacement est crucial! Loin de la tente où la bière coule à flot et loin de la foule tout en restant proche des douches donc impossible. Le paddock supérieur fût idyllique! De l'herbe, pas de bruit la nuit, une vue imprenable sur des champs de vache et plein ouest pour le coucher de soleil!
Electricité donc 3 frigos, une plaque à induction, une bouilloire, la clime pour Phiphine, une tigresse de 1.8 kg et deux néons. Le grand luxe comme on aime.
La météo annonce de la chaleur et un peu de flotte. Pour une fois ils ont eu raison, Jeudi et Vendredi 30° avec du vent et samedi plus de fraîcheur mais le soir flotte, après le concert des Stones. Enfin je dis concert mais bon, vous m'aurez compris! Dimanche séchant mais la bruine revient pour notre course de 13h40 avec un risque de gamelle plus élevé.
Pour revenir aux courses, la découverte du circuit vendredi PM en roulage libre mais chronométré laisse peu de place à la sérénité. Longues lignes droites entrecoupées de chicanes étroites et très refermées dont on sort en 1ère parfois une fois! Une descente vertigineuse mais ombragée avec tous les commerces de proximité, très utiles en course: Garage, bistro et pharmacie, dans l'ordre! Ca va pas être simple mais on va y arriver. 2.26. au milieu des Morini. Pour une première ca va. La seconde séance plus sérieuse du samedi matin à la fraîche, 8h30, se déroule mieux. 2.22 mais derrière Jean Michel et Robert en 2.21. Ca reste bien et je pense pouvoir gratter encore 5s avant la fin du week end.
Pour parler du plateau avant les courses, c'est tout simplement hallucinant. Aermacchi A la d'oro, AJR, Manx, Ducati, MV, Morini évidement et tous en 350. 28 clients pour une place que Luke Notton ne voudra pas partager avec sa 7R seeley. Intouchable. Je flirt avec la 17ème place en qualif, sur 40 machines puisque nous roulons avec le groupe 2, les twins d'avant 72 donc beaucoup de 350 honda rapides mais moins agiles pour celles que nous avons croisées. Un peu contraignant car difficile à doubler. Un mono venant de l'Ile de Man me colle 10s au tour. Rich Hawkins. Vous l'aurez compris, la Marseillaise n'est pas prête de sonner...
Passons sur les apéros festifs et les rencontres improbables du week end, de Riri à Aggrippine, l'héroïne de Claire Brétécher, pour revenir sur la piste. La course du samedi, le coeur battant comme un tambour du Bronx, me fait faire bien des erreurs et je ne suis pas le seul! Bon départ et bonne perf puisque je descends en 2.19 et à 160km/h mais mauvaise batterie qui lâche au dernier tour alors que je tenais tête à mes potes. Raté! Je perds 4 points... Les 9 premiers sont entre 2.02 et 2.12.
La fin de journée amène la pluie. Pour toute la nuit et le matin c'est humide. Nous roulons à 13h, il y a de l'espoir pour que ça sèche. L'attente est longue. Le vent assèche la piste mais il bruine de temps en temps. Les temps au tour augmentent dans toutes les catégories ce qui n'empêche pas le spectacle!
Rappelons ici bas que l'IHRO a son créneau en 500 et 350 mélangées avec des Paton monstrueuses, les Vincent de chez Patrick Godet, pilotées par Lancelot et Bruno, des Manx, König GP, Ducati 500, Aermacchi Drixton, BSA, G50, à la pelle! Quel beau plateau et quel niveau de pilotage! Ca change de la catégorie dite "Vintage" du Championnat de France même si nous avons aussi quelques belles machines. A Chimay les classiques sont des avant-guerre du pétrole et Les Vintages, avant-guerre des boutons.
Bref, seconde course, humide donc. Départ en trombe mais drapeau rouge car une quinzaine de pilotes arrive trop tard et loupe le départ. C'est pas grave une fois, on recommence! On se pose pas de question ici, c'est cool! Mais ca retombe, des gouttes perlent sur la visière. Chiotte! Baissé de drapeau et gaz! Ca tient devant donc ca tiendra derrière. A presque fond, mon Team Manager (Eddy) m'ayant recommandé de rouler à 80% de mes capacités, je m'élance devant mes deux compères. Ca bagarre avec les Morini mais englué par les twins les deux me passent au dernier tour. Je remonte à 90% mais trop tard. Je finis sur mes roues, c'est le principal. Le danger c'est la casse moteur ou bien une chute devant avec risque de collision inévitable donc mes distances de freinage tiennent beaucoup compte de ce dernier paramètre dès que des furieux visent l'entrée des chicanes à fond de troisième, ce qui est en effet la solution pour taper un bon chrono.
Fin de Dimanche à l'Auberge de l'Eau Blanche, assis au calme, fatigués par le bruit et le vent. Douce soirée qui se terminera avec le frère d'Eddy, Marc Detournay. Pas pour nous, rincés.
Départ lundi matin, sous la pluie, un petit tour de circuit à nouveau ouvert à la circulation, avec le camion et la caravane, pour expliquer à ma douce et tendre épouse les trajectoires en essayant de la rassurer sur la proximité des commerces...
A ce jour, toujours perché dans mes rêves, rien n'a pu égaler ces nouvelles sensations de vitesse pures.
J'attends Gedinne avec impatience en espérant pouvoir faire mieux mais toujours à 80%...
Un grand merci aux organisateurs, aux bénévoles qui assurent notre sécurité et à mes nouveaux amis!
Bob.
Sacré week end! Les Bikers classic organisaient grâce au CRMB, 2 courses classiques en plus des autres. Pro classic, superbike et endurance. 38° au plus chaud, un temps merveilleux, un peu de pluie le Dimanche mais de l'air et de la bonne humeur. 70 machines en piste mais comme le circuit est très long, pas de bouchon. Pour se faire prendre un tour il faut les attendre...
Accueilli par Eddy et Martha le Jeudi, j'ai pu faire la connaissance de tout le staff technique du club et servir de cobaye pour la mise au point du contrôle technique.
Il s'agissait de la première course du championnat Belge et j'avais vraiment la crainte de tout casser avant même d'arriver à Chimay!
2 roulages le vendredi histoire d'apprendre le circuit. 3.43 puis 3.33. y'a du boulot mais comme je n'ai aucun temps de référence impossible de savoir si je suis dans les choux. Qualifs du samedi matin, 3.25... Deuxième temps des 350 CRMB derrière une Morini de 50cv dont tout le monde me parle comme étant une machine de guerre et un pilote redoutable. Il roule en 3.20 de mémoire mais rien est impossible! Le seul 350 qui est devant nous est une 350 TSS Bultaco inscrite en IHRO.
Loin devant, les Paton, Vincent, Manx and co. Ils frisent avec les 3.00.
Seconde qualifs, 3.26, régulier. Une chaleur de malade et le mono chauffe plus que la normal. Mais ça tient.
Bertrand Perreau qui devait partir en Angleterre mais coincé par les grèves de Calais nous a rejoint avec son mécano Didier. Patrick Cassuto inscrit en 500 avec sa Norton était aussi de la partie. Je pense à eux parce que Samedi soir, accompagné de Ludo (Crazyracer) nous avons assisté au départ de l'endurance accroché à nos verres de Pastis en terrasse du resto. Super moment!
Dimanche flotte 1h avant le départ. La piste sèche rapidement mais dans la tête c'est pas clair... Première course, première victoire! La Morini de 50 cv en a perdu 15 sur la piste et me laisse prendre 25 points! Mes premiers. De la baston un peu au départ mais ensuite c'est cavalier seul.
Seconde course, même punition. Suivi de prêt par un autre mono Ducati, plus rapide en ligne droite, j'arrive a faire la différence dans la descente où j'attaque un peu beaucoup...
Seconde victoire et re 25 points. En 3.20, donc je suis assez content et du moteur et du résultat pour la suite du championnat.
deux mono sur le podium suivit de prêt par une autre Morini celle de jean Mi.
Vivement Chimay où ils ont déclaré ne pas vouloir me laisser gagner!
Moi non plus.
C'était le 06 Mars et il a fait un temps splendide! 40 motos et un accès libre toute la journée, c'est bien!
Rodage de la 748 pour le pro Classic, roulage pour la 750 TZ et la 400 Kawa qui fera un peu d'évo au VMA cette année, les 2 monos Ducati dont celui de Bertrand Perreau, notre adversaire vintage de 2013! Bref une petite journée fraîche mais parfaite pour une remise en jambe. Vous auriez dû venir.
Le circuit est très technique, pas très rapide, étroit mais très amusant. Infrastructure d'accueil très correcte. Donc les Pâquerettes envisagent de le réquisitionner un de ces 4! Venez y avec un petit cross, y'a de quoi amuser les enfants autour.
Merci au CBRT76 pour leur sympathie.
L'hiver a été long (et dure encore) mais trop court pour la mécanique.
Le Team des Pâquerettes arrive à Nogaro en équipe réduite :
En Vintage, Roland et Raymond se battront sous nos couleurs. On accueille aussi Dominique qui fait sa 1° course en Vintage 350.
En Classic, on compte jouer gagnant avec Thomas.
En Post Classic, j'ai sorti la TZ-750 pour me rassurer sur sa santé après une course catastrophique à Aragon en fin de saison. J'ai aussi amené la ZXR 400 au cas où …
En VMA Evo, on a le gros des troupes avec Toph, Laurent et Francis.
Ça commence mal une semaine avant la course car Francis, avec sa RVF fraichement arrivée d'Angleterre, chute en l'essayant à Carole et la moto prend feu. Une semaine plus tard, il est à nos coté avec une machine au look douteux. C'est pas grave, il est avec nous et ça va lui faire du bien au moral.
Toph a des problèmes de démarrage avec son nouveau moteur. Il ne tardera pas à découvrir une soupape tordue. La RVF restera sur la béquille et j'ai bien fait d'amener la ZXR.
Coté Vintage/Classic, pas de problème à part un écrou d'axe de roue arrière qui joue les filles de l'air sur l'Aermacchi.
Pour moi, un problème familial m'oblige à quitter le circuit et je ne reviens que le samedi matin pour les qualifs.
La pluie est tombée toute la nuit et la piste est détrempée. Je fais les 3 tours obligatoires et je rentre avec l'avant dernier temps de la grille.
Chez les VMA Evo , Open Evo et Proclassic c'est la grande valse des roues sec et pluie. Ils n'arrêteront pas de tout le WE. Pour Toph, c'est plus simple, j'ai que des pneus secs pour la
ZXR.
1° manche Evo en fin de matinée, la tête de course voit apparaitre des petits jeunes qui en veulent. Laurent est aux avants postes avec une très belle qualif en première ligne et il se bat dans
le top cinq. Toph est dans le groupe des 10/15 et Francis pas très loin derrière. Tout va bien pendant 8 tours mais la pluie se met à tomber. Laurent est le premier à rentrer au stand,
immédiatement suivi par Toph : un coup pour rien.
40 mn plus tard, 1° manche Vintage sur piste mouillée, Roland s'impose en 350 devant Raymond et Dominique. Thomas s'est battu comme un beau diable et fini dans le bon paquet.
Vers 15h00, piste sèche et air frais. Pas de pression, je suis en dernière ligne des Post Classic. Je maitrise enfin les départs de la 750 et je me trouve au cul du 5° au premier virage. Je laisse passer les excités dans l'escargot et m'en débarrasse dans la ligne droite.
Petite nouveauté à Nogaro, ils ont planté une grande asperge au milieu du circuit avec affichage des 10 premiers. C'est bien pratique car je vois mon classement à chaque tour.
Il y a 4 motos devant moi dont Patrice 1° Open. 4 tours avant la fin, je le passe là où il ne m'attendait pas et, comme je le prévoyais, il me fait les freins et l'intérieur 2 virages plus loin : je lui ai confirmé que je ne savais pas freiner.
A l'avant dernier tour, je lui colle à la roue pour repérer les phases où je peux faire la différence. Le tour suivant, je le passe sur la puissance à la réaccélération en sortie de l'escargot et soigne mon freinage au bout de la ligne droite. Il tente de passer à l'intérieur mais, trop rapide, il est obligé d'élargir et c'est moi qui sors devant. Je le contiens jusqu'au damier. 3° scratch et 1° Open, pas mal pour une première manche de la saison.
On passe à Dimanche.
Les Vintage /Classic sont gâtés : Deux manches dans la matinée. Ils n'auront pas besoin de se changer.
La 1° course a lieu sur une piste bien humide et la seconde sur le sec. Dans cette dernière, Raymond fait parler la poudre et gagne en Vintage 350 suivi de Roland et Dominique. Thomas colle aux basques de Jean-Pierre Piet mais la P&M est vraiment trop puissante sur ce circuit rapide. Il finit deux : bon début de saison.
A midi, seconde manche Post Classic. La piste est très longue à sécher et si la trajectoire est bien propre, il n'en est pas de même des abords immédiats. Ça sent le piège …
Départ canon comme hier et je me retrouve en position d'embuscade : surtout, prendre son temps. Je passe 6 tours pour bien chauffer les appuis et repérer les endroits où le grip est douteux. J'observe Bill puis Patrice qui s'offrent de petites glissades dans les endroits pas nets. A 4 tours de la fin, je passe à l'attaque en me débarrassant de bill et me retrouve 4. Je recolle au paquet de trois qui sont scotchés derrière Bruno. Je passe au milieu et les double tous les trois à la sortie de l'escargot à l'avant dernier tour. Il ne me reste plus qu'à m'appliquer pour garder la place jusqu'au damier. C'est fait : Victoire et meilleur tour en course. Heureux !
14h00, place aux VMA Evo. Stéphane atomise et personne pour l'inquiéter. Les petits jeunes qui ont fait des étincelles hier sont un peu moins saignants et c'est Tomtom qui se place 3 derrière Marco. Derrière, coté Pâquerettes, on a à nouveau Laurent qui se bat dans le bon paquet au pied du podium. Christophe me gratifie d'un énorme boum en passant sous mes yeux ébahis de spectateur puis d'un nuage de fumée immédiatement suivi d'une sortie aux stands. Y a quelque chose…
Francis est encore dans le même paquet et se fait plaisir. Ouf !!!
Je vais à la rencontre de Christophe pour avoir des nouvelles : "j'ai bas bien regardé mais j'ai vu un axe de piston dans le bac à huile" me dit-il. C'est bon, si le démontage est commencé, on aura vite fait de réparer.
La poisse pour Christophe, dommage.
Merci Philippe pour ce beau CR!
Un rapide CR du team Vision Plus / Team des Pâquerettes.
Comme au BOC 2014, on a ressorti la 1000 MHR à couple conique. On ne peux pas parler d'arme absolue avec cette machine mais en ECS on joue en catégorie Classic 1000 où un bon cocktail Régularité/fiabilité/chance peux nous permettre de faire quelque chose. Bon, c'est vrai qu'avec une Ducati couple conique, il vaut mieux compter sur la chance que sur la fiabilité
On a aussi pris un Joker puisque C. Vite a rejoint le team en 3° Pilote.
Les essais sont très difficiles avec dans l'ordre des problèmes de drible à l'avant, de trou à l'accel et pour finir une boite bloquée en Q1 du 1° pilote. Je le sens mal pour la suite... La boite est rapidement débloquée, la carb affinée et le reste des qualif se passera sans encombres.
Reste le drible que l'on corrige facilement en remplaçant les Avon par des Conti pour le Warm-up. Mais dans ce Warm-up, nouveau blocage de la boite. Ça devient chaud
Les performances de la machine nous ont permis de nous qualifier 4° .... en partant du fond. Indéniablement, il est difficile de trouver une machine moins puissante sur la grille.
Malgré tout, l'endurance est l'endurance et le régularité des trois pilote paiera puisqu'on arrive a finir 22° en se bagarrant pendant toute la course pour la 3° place en classic 1000. On rate le podium de peu mais la vraie victoire pour le team est d'être à l'arrivée.
Je roulai aussi avec Christian en Proclassic. Et oui, on avait peur d'avoir fini l'endurance plus tôt que prévu :cpasmoi: et je voulais tester ma 748 en course avant SPA.
Les Qualifs en mode découverte de la machine me placent en 9° ligne d'une belle grille de 49 machines. Christian qui n'aime pas trop ce circuit est sur la 5° ligne.
En course 1, on se régale à tout les niveaux de belles bagarres et de montées d'adrénalines : Le 1° virage à 50 concurrents, c'est top.
Christian fait 5° et moi 23 dans le bon wagon des Supersports.
En course 2, Christian provoque un drapeau rouge au bout de 4 tours. Second départ pour 3 tours et je me classe 16° au damier. Les bagarres sont toujours aussi denses, je me suis régalé.
Après l'arrivée, je fonce à l'infirmerie pour avoir des nouvelles de Christian. Il est évacué sur Toulon en hélico. Je le retrouve vers 17h00 où les médecins m’annoncent qu'il n'a rien mais qu'il n'a rien mais qu'il reste en observation pour la nuit. Je pourrai passer chercher l'épave demain à 10h00 puis retour sur Paris.
Tout es bien qui fini bien
Week end sous le signe du soleil mais aussi du vent. Après les rabat-Joie voici les rabat-ta-moto-parterre! Beaucoup de chutes et de casse pour tout le monde! Je n'y étais pas mais j'ai pu suivre en direct grâce à Nicole Duriez et au site du Promosport.
Chez les Pâquerettes représentées par Roland Arfé, jean Charles Armand, Raymond et Thomas Duriez, 1 seule chute avec casse moteur, huile sur le pneu et donc au tas!
La 52, une habituée...
Malheureusement parce qu'elle était toute belle.
Thomas 1er 750 Classic, Raymond 1er 350 Vintage, Roland deuxième (sur 4, ça s'étoffe...).
Première manche du championnat de Belgique 500 Classic et celle du championnat Hollandais itou!
N'ayant rien du tout compris, je me suis inscrit à cette course pensant qu'il y avait un classement 350 comptant pour le championnat Belge auquel je veux participer cette année. Maintenant j'ai compris grâce aux explication de Jean Mi, un Belge donc sympathique, et qui plus est, roule en Morini 350.
Donc non.
Donc nous voilà immergés dans un troupeau de 500 classic allant de la Manx à la Paton, en passant par les 500 Four, Absaf, Jawa 500, T500 Suz, BMW, Triumph etc...
Nous c'est 3 monos 350 Ducati, 2 Morini et 1 Yam 2tps.
Beaucoup de ces pilotes ne connaissent pas Croix. Un avantage pour moi. Vendredi essais libres pour les autres, sous le soleil. Le paddock est archi comble à tel point que nous nous retrouvons, ma douce et tendre, nos chiennes et moi-même au fin fond de la piste de Karting pour ceux qui connaissent.
Vendredi 18h30, ouverture de l'administratif. Vite fait réglé, location du transpondeur et direction le contrôle technique. Un peu d'attente, contrôle rapide et efficace puis Sonomètre. j'aurai dû faire l'inverse soit dit en passant. Il parait que mon pot est très bien. 103 db. Le mono d'avant devait être à 110 ...
C'est pas tout ça ... Un petit Cassoulet et au lit, laissons les autres faire un peu la foire.
Samedi deux séances qualif. Une à 9h, piste bien mouillée, pas obligatoire et l'autre à 14h. La première, deuxième temps sur 22 machines. Il manque les cadors. La seconde, piste sèche mais il commence à bruiner. 3 tours pour sortir un temps qui me place en deuxième ligne. 1.10.411. Un peu frileux à cause des gouttes... La première Morini est 4s derrière.
Le Dimanche est annoncé ensoleillé mais froid... Donc une piste bof! Surtout à 8h40. Ca caille!
Le noeud au ventre caché derrière ma visière fumée et embuée je me lance avec une procédure de départ que je ne connaissais pas: Au drapeau tricolore et pour le tour de chauffe, départ en paquet. Comme en Espagne. Je tire trop long. Mais je fini 6ème et 9 au cumul des deux championnat. Pas trop de bagarre sauf au départ mais les 500 dans la ligne droite font la différence. Ma visière se claque toute seule et la buée s'installe pile poil quand j'arrive au repère de freinage en bout de ligne droite... Donc virage aveugle et réouverture de la visière en passant de la 2 à la 3! 1.09.285. Peux mieux faire, j'ai promis 1.08 à mes Pâquerettes!
Seconde course, transmission raccourcie (17/45 pour les espions), casque équipé de deux rilsans, chaud bouillant. Départ toujours difficile, puis "gêné" par l'Absaf qui perd son sélecteur, je décroche des 9 hommes de tête rapidement. Mais bon, j'ai promis 1.08 alors bon, faut aller les chercher...
Je remonte 3 x 500 dont la 80, Marc Detournay en T500 avec qui je me bagarre un petit moment, aidé par un 500 Four. Je me suis fait les deux sous le pont par l'extérieur. Assez jouissif.
Au 8ème tour l'alfano annonce 1.08.23. j'y suis presque. 9ème tour, 1.07.47. Yes! Il est pour mon Bertrand celui là! Devant, une Manx, Guust van Gool, 70 ans, qui finira 3ème du championnat Hollandais, est à portée de fusil. Allez hop, on joue un moment et au dernier tour je lui plante les freins à l'épingle et à l'intérieur, là où je m'étais cassé la gueule en 2010 en essayant de faire la même chose à Eric Quartier. Là, ca passe! Mais à la remise des gaz la Manx triomphe!
6ème et 9ème au général.
Bonne répétition pour Spa, Chimay et Gedinne sauf que là j'étais à la maison, là bas je serai chez eux!
Championnat que je recommande à tous les amoureux de très belles Classic.
Bon il y avait aussi les autres courses, Supermono, + et - 750, coupe de marque, 125, Superbike et les sides. Aucun problème de timing, une pause de 45mn et roule ma poule. Pas de grosses chutes et une super ambiance. Ah oui, j'oubliais, pas de briefing! De toute façon, pas de créneaux pour le faire.
Merci pour l'accueil Kurt! je recommande chaudement.
CROIX DE FER!
C'était le 25/26 Avril!
C'était grand!
C'était beau!
C'était mouillé...
Honte à moi d'avoir laissé tomber ceusses du Team qui sont allés à l'Iron Biker mais l'appel du chrono a été trop fort. C'est à peine une semaine avant que j'ai pris cette décision peu surprenante quand j'ai su que Bertrand Perreau en mono Ducati et une Benelli 250 participaient à cette course historique du Nord Pas de Callais. En plus des autres. Bertrand est un excellent pilote et la Benelli en 2014 nous avait tous laissé un excellent souvenir!
Donc inscription en ligne et roule ma poule.
Une petite soirée sympatoche chez Bertrand Jeudi soir pour récupérer mon nouvel habillage (Bertrand étant un peintre spécialisé dans le side et la moto de piste) et direction Croix en Ternois vendredi matin où m'attendent Francis (400 rvf évo), Philippe (750 tz et 400 zxr évo), Christophe (400 rvf évo) et Roland (350 Ducati). Ainsi que la famille Duriez, rattachée au Team, avec l'Aermacchi 350 de Raymond et la Triumph 750 de Thomas.
Soleil, roulage libre pour voir et escalope au maroille à la brasserie de la poste. Ca ira!
Samedi matin pluie fine et pour les qualifs un peu de traces d'humidité qui empêchent toute tentative de nouveau record personnel. 4ème ligne devant Bertrand et Roland mais derrière Raymond et les autres. Pas grave, même plus intéressant pour le reste du week end!
La première course étant prévue à 16h, Philippe et moi même en profitons pour avaler quelques huîtres de Normandie finement accompagnées de quelques verres de Muscadet. Un régal! Donc à 16h, grande forme et une super course qui finit par une victoire au scratch. Une première et un nouveau record pour moi. Y'a pas à dire, la boîte racing et l'embrayage à sec posés cette hiver font la différence. Bertrand casse son vilo en 2 au départ. Dommage car j'attendais cette confrontation avec une certaine impatience. Comme j'ai mon mulet dans la boîte à gants, je lui prête. Embrayage récalcitrant (mal monté au niveau des ressorts) et fuite d'huile l'empêcheront de bien en profiter le lendemain matin pour la deuxième course. Tout ça après le couscous du samedi soir et ce qui va avec. Une nuit bien arrosée donc une piste humide à nouveau pour la course de 10h. Séchante mais bon, on est pas là pour se foutre par terre. Départ mitigé mais une belle remontée qui me permet de monter sur la troisième marche et repartir avec une rose entre les dents: devant la Bennelli mais derrière Bruno Stahl en Kawette et la Honda Drixton de Patrick millet.
La troisième course à 14h30 promet car la piste est sèche et nos amis du CRMB Eddy et Martha sont là pour voir... Prégrille, quelques gouttes et tout d'un coup ça drache de la grêle. Raymond abandonne, Eric et l'Absaf aussi. Bertrand est parti comme une balle et roule en 1.15 je sais pas comment! Péniblement en 1.20 pour moi et très vite distancé par les autres. 5ème. Ca ira bien comme ça...
Les vidéos parlent d'elles mêmes.
15h30: Le paddock est quasiment vide, il pleut toujours. 4 motos en piste pour les évo, 5 pour les post-classic, c'est triste.
Retour 20h au bercail avec une coupette; au cumul je finis deuxième du week end. Bien pour un retour.
Prochaine confrontation à Carole le 10 Mai avec enfin mon Franck Zielinski, Champion 2013, qui ne rêve que d'une chose: bien se faire plaisir. On sera deux sur ce coup là mon lapin...
Et voilà!
Gros week end pour le Team puisque Christophe et Philippe participaient aux 4h d'endurance classique sur la 400 RVF de Dom.
Super grille et super départ mais au bout de 1h20 de course Christophe perd l'avant et se fracasse la clavicule en 2! Chiotte.
"Piste glissante" Voilà ce qu'ils auraient dû afficher le matin au lieu de virer Léo, 12 ans, en larmes alors que le règlement l'y autorisait.
Pendant 1 h le médecin n'a pas arrêté car la veille et le matin même, un indélicat aurait mis de l'huile sur la piste.
Pour reprendre au début, roulage libre du Vendredi sous le soleil.
Samedi un peu menaçant mais finalement sec. Tout le monde s'en sort bien et la grille Vintage est assez riche pour se permettre de rêver. Mais c'était sans compter sur les 3 hondas du plateau en grande forme. Bruno Leroy, encore lui, pète un score qui me fait rêver. Insuivable. Mais comme j'ai la poisse dès que la pailletée prend la piste, câble de casse HS en fin de course, en tête des pisses feu, je perds la partie. La seconde, et après avoir assisté Christophe à l'infirmerie, impossible de prendre les risques de la veille. Je perds 2 fois l'arrière et rend la main, préférant être entier pour l'ouverture du Championnat belge à Spa. Je fini 1er des 350 mais 10 de la course derrière le Team 70's. franck 1er du week end devant Raymond.
Philippe en Open brille de nouveau avec l'OW 31 mais l'axe de sélecteur cassé le contraint lui aussi à l'abandon.
Thomas fait 2 courses magnifiques .
La prochaine c'est Navarra.
Ca sent la victoire mais sans moi, sans Franck, sans Thomas, sans Roland, sans Christophe, sans Dom. Donc pour Philippe!
Croisons les doigts.